Le laboratoire américain Alexion a choisi de collaborer avec la médecine française. Les autorités françaises auraient selon nos sources fortement incité le laboratoire à investir à Paris pour assurer la vente de ses très chers médicaments. De part et d’autre, en effet, l’enjeu du développement de ces produits destinés à des maladies graves et rares exige de part et d’autre un lobbying offensif, comme en témoigne la présence d’experts et d’anciens diplomates à la manœuvre.
En s’installant à l’hôpital Necker, au sein même de l’Institut Imagine, Alexion décide de collaborer avec les équipes de pointe dans les pathologies entraînées par les réactions de rejet du greffon (GVHD) et de l’insuffisance de la moelle osseuse. D’une manière générale, les dirigeants d’Alexion entendent développer leurs activités à Paris et en France. Il s’agit de travailler sur des recherches de traitements de maladies rares. Alexion est un laboratoire très axé sur l’inhibition du complément et a développé des traitements (eculizumab-Soliris) pour les patients atteints d’hémoglobinurie paroxystique nocturne (HPN) et du syndrome hémolytique et urémique atypique (SHU). Ces maladies complexes sont causées par l’inactivation chronique et incontrôlée du complément. On se souvient aussi que le laboratoire avait en 2013 créé la polémique en manipulant certainement les interventions d’un jeune enfant belge Viktor pour faire pression sur le gouvernement de Bruxelles afin d’obtenir le remboursement de son médicament phare Soliris, considéré comme le plus cher au monde ( 400-500 000 euros par an).
En s’installant à l’hôpital Necker, au sein même de l’Institut Imagine, Alexion décide de collaborer avec les équipes de pointe dans les pathologies entraînées par les réactions de rejet du greffon (GVHD) et de l’insuffisance de la moelle osseuse. D’une manière générale, les dirigeants d’Alexion entendent développer leurs activités à Paris et en France. Il s’agit de travailler sur des recherches de traitements de maladies rares. Alexion est un laboratoire très axé sur l’inhibition du complément et a développé des traitements (eculizumab-Soliris) pour les patients atteints d’hémoglobinurie paroxystique nocturne (HPN) et du syndrome hémolytique et urémique atypique (SHU). Ces maladies complexes sont causées par l’inactivation chronique et incontrôlée du complément. On se souvient aussi que le laboratoire avait en 2013 créé la polémique en manipulant certainement les interventions d’un jeune enfant belge Viktor pour faire pression sur le gouvernement de Bruxelles afin d’obtenir le remboursement de son médicament phare Soliris, considéré comme le plus cher au monde ( 400-500 000 euros par an).
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