« Faire peser le poids de 40 ans de carence des politiques de santé sur les épaules des étudiants est injuste. Alors que l’hôpital public pâtit déjà d’une fuite des compétences vers le privé, ce sont eux qui colmatent les brèches, travaillant souvent 50 à 60 heures par semaine, avec un salaire inférieur au smic si on le ramène au taux horaire. Les forcer en plus à s’installer dans les déserts médicaux risque au contraire d’entraîner des résistances de la part de médecins réticents, qui préféreront bifurquer vers d’autres carrières voire quitteront la médecine. »
Tribune de Thomas Lilti, « faire peser les carences politiques sur les étudiants est injuste » in Libération du mercredi 19 octobre 2022.
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