Rendu cette semaine à Nicolas Sarkozy, le prérapport de la commission pour « la libération de la croissance », que préside Jacques Attali, fait un subtil distinguo. Tous secteurs d’activité confondus, il convient, recommande ce document, de « distinguer les " bons déficits " (ceux qui financent les dépenses d’avenir) des " mauvais déficits " (le financement à crédit des dépenses courantes) ». Sans ranger ostensiblement le « trou » de la Sécu dans l’une ou l’autre de ces deux cases, le prérapport insiste par ailleurs sur la « haute valeur ajoutée » du secteur de la santé. Ce qui ne l’empêche pas de constater, pour le regretter, que les pouvoirs publics n’ont pas de plan de maîtrise des dépenses de Sécurité sociale.
Le prérapport Attali distingue les « bons » et les « mauvais » déficits
Publié le 10/06/2010
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Source : Le Quotidien du Médecin: 8788
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