« J'ai vu ce nuage arriver, les vitres exploser, et puis plus rien. »
« On a vu arriver beaucoup de blessés, et c'est là que j'ai fait de l'ophtalmologie de guerre, chose que je n'avais jamais faite. »
« Nous, quand on met tous les matins nos petits appareils dans les oreilles, tous les jours ça nous ramène à AZF. Même si on veut oublier, on ne peut pas oublier ce qu’on a subi, ce qu’on a eu, les blessures, le choc, le traumatisme. »
Ces témoignages ont été recueillis à Toulouse par l'AFP ; le 3e procès AZF s'ouvre à Paris demain. Quinze ans après la catastrophe industrielle qui a fait 31 morts et des milliers de blessés.
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