Le conseil départemental de l’Ordre des médecins des Pyrénées-Atlantique, qui a examiné la situation du Dr Bonnemaison, a décidé de ne pas porter plainte devant la chambre disciplinaire du conseil régional de l’Ordre. Son président, Marc Renoux, a indiqué à l’AFP qu’il se « désolidarisait » de cette décision prise à la majorité à bulletin secret, expliquant qu’il la « respectait » mais qu’il en avait « honte » car elle « bafoue le droit ». Le Conseil national de l’Ordre devrait de son côté intervenir. « Du fait de la gravité apparente, voire établie formellement, de la situation, la juridiction professionnelle sera saisie sans aucun doute et statuera », a estimé au micro d’Europe 1 le Dr André Deseur, porte-parole du CNOM et président de la section Exercice professionnel. Le Conseil national devrait délibérer dans le courant de la semaine et confirmer sa décision en session plénière en octobre. La chambre disciplinaire disposera alors de trois à quatre mois pour rendre sa décision.
L’Ordre national statuera
Publié le 05/09/2011
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Source : Le Quotidien du Médecin: 8998
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