Pour le Dr Pascal Dureau, vice président de la Fédération des MMG (et par ailleurs élu à l’URML de Rhône-Alpes), seules trois questions posées par le travail de la MRS sont légitimes. « Le reste, dit-il, relève de problèmes techniques et tient surtout au fait que les enquêteurs n’ont pas posé les bonnes questions aux bonnes personnes. Sur tous les éléments comptables et financiers du rapport par exemple, il y a une justification. »
Quelles sont les questions recevables ? « Que fait-on avec les pratiques en matière d’honoraires ? Comment développer la régulation ? Comment fait-on respecter le tiers payant ? », liste le Dr Dureau qui avoue immédiatement : « Je n’ai pas de réponses sur ces trois points-là. » Certains, estiment-ils, sont du ressort conventionnel, d’autres relèvent de la loi. Pour la pratique du tiers payant, par exemple, Pascal Dureau explique : « Il y a des solutions, elles existent, mais on a besoin pour les construire d’une coopération de l’assurance-maladie ».
Cancer rénal : le pembrolizumab associé à l’axitinib confirme sa supériorité à long terme
SEP : la phase prodromique durerait quinze ans, marquée par des consultations à la hausse
L’ANSM ajoute deux dérivés de la kétamine à la liste des stupéfiants
L’efficacité de la clozapine est améliorée par les ISRS et les IRSN