Les hommes sont plutôt attirés par le "gras-salé", alors que les femmes sont un peu plus "gras-sucré", selon des résultats de l’étude NutriNet. Selon cette nouvelle étude, "les fumeurs et les buveurs réguliers d'alcool sont plus attirés par le gras-salé".
Les auteurs observent aussi chez les femmes enceintes une attirance pour le gras, qui pourrait être lié à la physiologie pour protéger le foetus, en prenant des kilos. Autre constat de cette étude faite sur plus de 37.000 d'adultes français : les jeunes sont plus attirés par le gras que les plus âgés. Enfin, l'étude confirme que l'attirance pour le gras (salé et sucré) est plus répandue dans la population à faibles revenus.
Les chercheurs vont suivre maintenant l'effet de ces attirances sur les fluctuations de poids et, à terme, l'état de santé des volontaires pour voir si ceux qui se rangent dans le plutôt "sucré" développent un diabète de type 2 (le plus courant) ou davantage d'hypertension pour ceux aimant le "salé".
Cancer rénal : le pembrolizumab associé à l’axitinib confirme sa supériorité à long terme
SEP : la phase prodromique durerait quinze ans, marquée par des consultations à la hausse
L’ANSM ajoute deux dérivés de la kétamine à la liste des stupéfiants
L’efficacité de la clozapine est améliorée par les ISRS et les IRSN