En tant que médecin généraliste, je m'inquiète de la condamnation française de l'olmesartan, un médicament efficace et particulièrement bien toléré sous le prétexte d'un effet indésirable « très rare».
Avec ce seul motif, on pourrait supprimer la moitié des médicaments du Vidal ce qui m'amène à douter de la partialité scientifique de la Haute Autorité de santé dans cette décision.
Cancer rénal : le pembrolizumab associé à l’axitinib confirme sa supériorité à long terme
SEP : la phase prodromique durerait quinze ans, marquée par des consultations à la hausse
L’ANSM ajoute deux dérivés de la kétamine à la liste des stupéfiants
L’efficacité de la clozapine est améliorée par les ISRS et les IRSN