Conseils téléphoniques prodigués par des psychologues, consultations spécialisées permettant de poser un diagnostic et d’identifier des solutions, les associations offrent une prise en charge thérapeutique avec des moyens mutualisés.
Toutes insistent sur un point fondamental : elles œuvrent dans la plus grande confidentialité.
L’association MOTS, par exemple, ne connaît pas l’identité des médecins qu’elle prend en charge. L’anonymat est de rigueur et il n’y a aucun risque de violation du secret médical.
Si l’Ordre devait être au courant, explique le président de l’association, ces praticiens risqueraient une suspension ou une interdiction d’exercice.
On comprend que le sujet est sérieux pour les responsables associatifs.
Ainsi, l’AAPML, MOTS et d’autres encore ont mis en place un réseau permettant de prendre en charge ou d’hospitaliser les médecins de façon délocalisée par rapport au secteur géographique où ils exercent.
Cancer rénal : le pembrolizumab associé à l’axitinib confirme sa supériorité à long terme
SEP : la phase prodromique durerait quinze ans, marquée par des consultations à la hausse
L’ANSM ajoute deux dérivés de la kétamine à la liste des stupéfiants
L’efficacité de la clozapine est améliorée par les ISRS et les IRSN